Depuis quelques mois à Bamako, les ateliers de couture sont confrontés à des coupures d’électricité qui peuvent nuire aux tailleurs. Mais cela n’empêchent, les tailleurs continuent de faire de leur mieux.
Parviennent-t-ils à travailler comme ils veulent ?
Mariam Amadou Diarra, une tailleuse déclare « Notre métier connaît beaucoup de difficultés surtout au niveau de l’électricité. Dans la vie quand on est passionné par un métier on peut être confronté à des obstacles et les surmontés. Sinon les coupures de l’électricité nous fatiguent ». Mamadou Traoré estime que les coupures d’électricité perdent leur temps, ce qui les met très souvent en retard.
Beaucoup d’entre eux se plaignent et l’on devra trouver des solutions très vite.
Mariam DIABATÉ
