La justice a refusé lundi à Bordeaux (ouest de la France de remettre en liberté trois rugbymen français, néo-zélandais et irlandais. Ces individus étaient condamnés en décembre à plus de dix ans de réclusion pour avoir violé une jeune femme en 2017 qu’ils contestent. Ce viol aurait été occasion à la suite d’une soirée très alcoolisée qui avait suivi un match de Top 14 entre leur équipe de l’époque, Grenoble, et Bordeaux-Bègles , en attente de leur procès en appel.
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