Suite a l’expulsion de l’ambassadeur de la France au Mali, les partis et regroupements politique constituant le CADRE D’ECHANGE DES PARTIS ET GROUPEMENT POLITIQUE POUR UNE TRANSITION REUSSIE accusent les autorités actuelles d’opter pour des affrontements ouvertes avec les amis du Mali.
Selon le cadre, dans son communiqué du 02 février 2022 à Bamako, la non tenue des élections dans le délai prédéfini par la charte de la transition est à la base des tensions entre le Mali et la communauté internationale mais aussi entre le gouvernement et une partie de la classe politique.
Pour rappel, la prolongation de la transition d’au plus cinq ans est une recommandation des assises nationales de la refondation qui était une réunion des maliens, ses résolutions sont donc les leurs. Aller contre elles, c’est aller contre la volonté des maliens
Le Mali à travers les autorités de la transition s’est engagé dans un processus de redressement, de conquete de souveraineté, d’indépendance et de liberté.
Cette partie de la classe politique ignore-t-elle les besoins d’automation exprimer par les populations ? Ignore-t-elle l’évolution du sentiment anti politique française de la jeunesse malienne ? Cette indifférence du cadre des partis politiques pour une transition réussie n’est pas passée inaperçue et selon les réactions, les jeunes du Mali se préparent à sanctionner tous ses partis et personnalités politiques prêts à sacrifier le Mali pour des raisons inavouées
Gims@Actuel Media